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Pablo Gutierrez : BMX et aventure en famille

Pablo Gutierrez : BMX et aventure en famille

Pablo Gutierrez, 40 ans dont 35 passés sur un BMX

Peux-tu te présenter en quelques mots et nous raconter d’où tu viens ?

Je m’appelle Pablo Gutierrez, j’ai 40 ans, dont 35 passés sur un BMX. Je suis marié et papa de trois enfants. J’habite un petit village au pied de la Sainte-Victoire, près d’Aix-en-Provence.

Le BMX, c’est une passion de toujours ? Comment as-tu commencé ?

Absolument. Mon père faisait du motocross et des courses d’endurance. Plutôt que de m’inscrire au foot, mes parents ont pris la brillante décision de m’inscrire au club de BMX local. Ça a été un coup de foudre instantané et je n’ai jamais quitté ce monde. Aujourd’hui encore, j’ai ce besoin de rider, cette envie de découvrir de nouvelles choses. Le BMX, c’est une passion à vie.

Tu vis en mode vanlife. Qu’est-ce qui t’a poussé vers ce mode de vie ?

Tout a commencé pour nos 30 ans : ma femme et moi avons acheté un Volkswagen T3. On aimait son style et, à l’époque, c’était encore abordable. Depuis, toutes nos vacances se passent en van. Nos enfants ne connaissent pratiquement que ce mode de voyage ! Ça nous permet de bouger facilement, de nous laisser porter par les rencontres, les paysages, la météo… En 2022, nous avons fait un road trip de six mois à cinq, jusqu’au Cap Nord. Une expérience incroyable, hors du temps, entre visites, sessions de ride et moments en famille. Si on n’avait pas pris ce T3, on n’aurait probablement jamais vécu tout cela.


Une vie de BMX riche en expériences

Quelle est la plus grande leçon que tu as apprise grâce au BMX ?

Le partage et l’amitié. Bien sûr, la détermination et l’assiduité sont essentielles, mais ce sont les liens créés grâce à ce sport qui me marquent le plus. Je me suis fait une seconde famille, avec des potes partout dans le monde. Entre la pression des finales de championnat et les soirées épiques à Los Angeles, Madrid ou Pékin, on a partagé des moments que seuls les riders peuvent comprendre.

Y a-t-il une compétition ou un moment qui t’a marqué ?

Ce n’est pas une compétition en particulier, mais plutôt ces cinq minutes avant le départ d’une grosse compétition. Tu ressens la pression monter, la rage t’envahir… Il faut rester concentré et tout donner. Ces instants sont uniques, mais aujourd’hui, je me demande parfois comment je faisais pour gérer tout ça !

Un spot en particulier t’a-t-il marqué lors de tes voyages ?

Oui, cet été en Grèce, sur l’île d’Andros. J’avais repéré un bowl construit par un passionné dans son hôtel. Ce spot, situé sur une colline avec un mix de trails, bowl et pumptrack, offrait une vue imprenable. On y passait nos matinées en session avec mon fils, nos journées à explorer l’île, et nos soirées au bowl, pendant que ma femme et mes filles appréciaient un apéritif en terrasse. Une expérience magique.


Projet professionnels et personnels

Quels sont tes projets à venir ?

Je repars pour une saison de BMX avec l’objectif de me qualifier aux championnats du monde à Copenhague cet été. On en profitera pour explorer la région en famille avec le van. Avant ça, on prévoit une semaine en Espagne en février, pour rider quelques spots entre amis. Toujours en van, bien sûr !

Des rêves à réaliser ?

Découvrir encore plus de lieux. J’adorerais faire un gros trip en Amérique du Sud ou explorer des spots mythiques comme Gorge Road en Nouvelle-Zélande ou les trails de Pennsylvanie. Sinon, toujours plus de voyages avec ma famille ou mon BMX.

Tu envisages d’autres formes de voyages ?

Pour l’instant, je suis comblé avec le van. Mais j’aimerais tester un road trip à l’ancienne, avec mon Peugeot 103 de 1970 et une tente, ou un trip en vélo, sac à dos et rencontres au fil du chemin.

Collaboration avec Morex

Pourquoi avoir accepté de devenir ambassadeur pour Morex ?

J’adhère à 100 % à l’esprit de la marque. Ce n’est pas juste une tendance, c’est une vraie passion pour les sports mécaniques, le surf et le riding. Leur univers me parle, et les fringues sont canons.

Qu’est-ce qui te plaît dans les produits Morex ?

La qualité avant tout : des vêtements bien coupés, des designs sympas, et un souci du détail. Chaque t-shirt donne envie, ça devient difficile de choisir !

Ton produit préféré ?

La veste sans manches Gao. Parfaite pour commencer une session tout en restant au chaud, avant de la retirer et laisser place à un beau t-shirt Morex.

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